Dans les patins
Fondation Elhuyar: Salut, Kepa !
KEPA CABALLERO ; patineur :Bonjour, bonsoir !
Fondation Elhuyar: Y a-t-il des professionnels dans ce domaine ?
KEPA CABALLERO ; patineur : Il y en a : Des gens qui vivent en Amérique du Sud et en Amérique, ici, au niveau européen, en Italie, en France, et surtout des gens qui marchent bien, des Hollandais, parce qu'ils ont l'occasion en hiver de les faire sur la glace.
Fondation Elhuyar:Es-tu venue vivre de ça ?
KEPA CABALLERO ; patineur :Non, je n'en suis pas arrivée là.
Fondation Elhuyar: Tu t'entraînes ici ?
KEPA CABALLERO ; patineur :Oui, c'est ma place d'habitude, s'il ne pleut pas. Vous voyez, j'ai des vues extraordinaires et c'est vraiment un luxe de s'entraîner ici.
Fondation Elhuyar:On va à la piste ?
KEPA CABALLERO ; patineur :Allons-y !
Fondation Elhuyar:Il faut aussi de la technique pour freiner, n'est-ce pas ?
KEPA CABALLERO ; patineur :Oui, comme vous le voyez, nous n'avons pas de freins, notre objectif est la vitesse, et freiner est aussi une technique à apprendre.
Fondation Elhuyar: Et le plus difficile techniquement ?
KEPA CABALLERO ; patineur :Le plus difficile dans notre sport est toujours la courbe. On cherche une forte inclinaison du corps, à ce moment les pieds se croisent, il faut le faire très vite, à grande vitesse... Et vous obtenez plus de vitesse si vous avez une bonne technique.
Fondation Elhuyar:Et quelle est la vitesse de ce genre d'essais ?
KEPA CABALLERO ; patineur : D'habitude, on roule à 40 km/h en moyenne. On se met dans une crise à 58 kilomètres à l'heure. Un sprinter sur un bon circuit prend 60 kilomètres par heure et passe. Imaginez, si vous tombez à cette vitesse... En plus, on est dans l'équipe, il y a beaucoup de contact...
Fondation Elhuyar: Vous jouez ensemble quand vous êtes en groupe ?
KEPA CABALLERO ; patineur :On touche, on pousse, on attrape... Les arbitres sont là pour fixer des limites.
Fondation Elhuyar: Maintenant, nous avons une exposition historique de patins ici.
KEPA CABALLERO ; patineur : En quelque sorte, oui.
Fondation Elhuyar: Il est évident que les plus vieux sont ceux-ci : nous étions avec eux quand nous étions enfants.
KEPA CABALLERO ; patineur : Oui, j'ai commencé à courir avec eux. Et beaucoup ont changé. En fait, j'ai commencé par ça, mais j'étais plutôt nul avec ces patins à roulettes.
Fondation Elhuyar:Est-ce une technique très différente ?
KEPA CABALLERO ; patineur :La technique jouait un rôle important avec ce patin. Et avec celui-là aussi, c'est important, mais avec la force, on peut marcher devant. Je me souviens d'avoir couru la dernière fois avec ces patins en 1993 et en 1994 avec ces patins à roues alignées.
Fondation Elhuyar:C'était un grand saut ?
KEPA CABALLERO ; patineur :C'était le plus grand saut. On roulait beaucoup plus vite. Au début, comme vous pouvez le voir ici, nous avions cinq roches, de petites roches; et peu à peu, les roches se sont agrandies.
Fondation Elhuyar: Les tiens sont trop gros maintenant !
KEPA CABALLERO ; patineur :Ce sont ceux qui sont utilisés dans l'élite. nous avons commencé avec des racines de 80 millimètres, et maintenant nous marchons sur la 110. La différence est grande : beaucoup plus de vitesse, améliorant les records...
C'est une botte faite sur mesure. Ils extraient un moule de pied avec du plâtre, puis le font avec de la fibre de carbone. Il est très dur et léger. Et cela vous donne un point de plus lorsque vous êtes dans l'élite - il est plus réactif en raison de sa dureté.
Fondation Elhuyar: Mon pied souffrira-t-il ici ?
KEPA CABALLERO ; patineur :Terriblement ! Vous avez beaucoup de liberté dans vos chevilles, mais vous devez les contrôler. Ensuite, il faut entrer beaucoup d'heures. Le pied doit s'habituer parce qu'il est vraiment étroit. Les blessures se font...
Fondation Elhuyar:Merci Kepa pour m'avoir montré tout ça.
KEPA CABALLERO ; patineur :A vous !
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