Rame adaptée avec Edorta de Anta

NAGORE REMENTERIA; Fondation Elhuyar: Bonjour, Edward

EDORTA DE ANTA ; rameur :Bonjour !

NAGORE REMENTERIA; Fondation Elhuyar:Bonjour, Juan Anjel !

JUAN ANJEL GARMENDIA, entraîneur:Bonjour Nagore, bonjour !

NAGORE REMENTERIA; Fondation Elhuyar: On prépare le bateau ?

EDORTA DE ANTA ; rameur : Oui, on vient d'arriver. Et mettre les choses un peu à leur place.

NAGORE REMENTERIA; Fondation Elhuyar:Vous avez pris ce même bateau, Juan Anjel ?

JUAN ANJEL GARMENDIA, entraîneur: Non... Ce bateau est resté à la maison. Le voyage était long et il n'y avait pas de possibilité de le prendre. Alors, les organisateurs vous mettent un autre récipient identique.

NAGORE REMENTERIA; Fondation Elhuyar:En Nouvelle-Zélande, c'est ça ?

JUAN ANJEL GARMENDIA, entraîneur:En Nouvelle-Zélande, oui.

EDORTA DE ANTA ; rameur :Une bonne expérience, et déjà de retour à la maison, et essayer à nouveau pour faire les choses mieux l'année prochaine.

NAGORE REMENTERIA; Fondation Elhuyar:Si au moins le bateau est un peu long par rapport au skiff de faiblesse mobile?

EDORTA DE ANTA ; rameur : Ce tronçon est de six mètres de long. Et les skiffs normaux, c'est neuf. Ensuite, du côté du poids, notre emballage contient 25 kilos et l'autre 12-13 kilos. C'est beaucoup plus large que l'autre pour inclure notre chaise. Et puis nous utilisons ces deux bouées, qui sont placées ici, pour ne pas les renverser.

N. R. : Ils touchent l'eau ?

E. A. : Oui, dans la compétition, les bouées doivent toucher l'eau. Ils ne te permettent pas d'aller plus haut.

N. R. : C'est dans les règles, alors.

E. A. :C'est vrai.

N. R. :Mais ça va freiner, non ?

E. A. : Oui, un peu. Et s'il fait plus mauvais temps, il y a plus de vagues. Mais il est censé freiner tout le monde, pas seulement moi. Comme nous tous.

N. R. :Ce sont ceux que vous utilisez maintenant, n'est-ce pas ?

E. A. : Oui, ce sont les miens. Vous voyez qu'ils sont beaucoup plus courts que les classiques. Et puis la pelle est beaucoup plus large que celle de l'autre.

N. R. :Edward, ça ne fait pas longtemps que tu rames ?

E. A. : Non... Nous avons eu de la chance, l'année dernière, vers février, de l'essayer.

N. R. :Te rappelles-tu pour la première fois ce que tu ressentais et ce que tu ressentais quand tu t'asseyais dans un récipient pareil ?

E. A. : Oui, nous sommes venus pour essayer quatre ou cinq personnes. Et le premier sentiment, c'est qu'on a pris un peu peur. Mais ça n'a pas duré longtemps, parce qu'après, on s'est bien amusés dans l'eau. C'est pour ça qu'on continue.

N. R. :L'image qu'il donne au moins de l'extérieur est que le maintien de l'équilibre sera difficile dans un récipient aussi étroit.

E. A. : Oui, c'est pour ça qu'on porte ces bouées, pour ne pas les renverser. C'est très dur à retourner, mais bon.

N. R. :Et comment ramez-vous, quelles parties du corps utilisez-vous ?

E. A. :Nous ramons attachés par trois côtés, et nous ne faisons avec nos bras qu'une seule et même force.

N. R. :Ce sera dur, l'heure, de remuer un morceau de ce genre de bateau seulement avec ses bras.

E. A. : Oui, vous devez être très bien préparé. On ne vient pas juste pour s'amuser. Vous devez avoir un bon niveau de compétence, pour lequel vous devez être très bien préparé.

N. R. :Aujourd'hui, oui, parce qu'aujourd'hui vous n'avez pas de compétitions proches à apprécier.

E. A. : Aujourd'hui, oui. Nous venons d'arriver de Nouvelle-Zélande et libérer un peu les muscles et profiter un peu. Et nous essaierons encore l'année prochaine.

N. R. : Eh bien, amusez-vous et merci !

E. A. :Merci et à bientôt !

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